Le cadre global
En assemblant les 3 facettes et les 12 dimensions précédemment décrites, on obtient le cadre global suivant :
Pour compléter le modèle constitué de ces 12 dimensions et 3 facettes, un dernier apport peut être fait ; deux types de contextes peuvent être pris en compte :
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D’une part le contexte de l’individu : il s’agit de toutes les informations susceptibles d’éclairer le bien-être au travail de l’individu, mais qui ne se situent pas dans le champ professionnel (charge de vie, style explicatif pessimiste ou optimiste, la propension au bonheur, niveau de bonheur dans la vie en général, « Valeur Travail », etc.)
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D’autre part le contexte de l’organisation : il s’agit ici de toutes les informations structurelles sur l’organisation qui pourraient contextualiser le bien-être au travail, comme par exemple, l’existence de conflit sociaux historiques, ou d’ autres traumatismes historiques de l’organisation, etc.
Par ce biais, il est possible de contextualiser et donc d’éclairer les résultats du bien-être au travail. A titre d’exemple, un département d'entreprise dans lequel les mots associés à la Valeur Travail sont extrêmement négatifs, partira avec un handicap important pour favoriser l’épanouissement des collaborateurs.